librairie / books       galerie / gallery       contact
INDEX   :     artistes / artists     thèmes / themes     :   INDEX
  themes   :  ARTE POVERA
  • Giovanni ANSELMO
  • Alighiero e BOETTI
  • Pier Paolo CALZOLARI
  • Luciano FABRO
  • Jannis KOUNELLIS
  • Mario MERZ
  • Marisa MERZ
  • Giulio PAOLINI
  • Pino PASCALI
  • Giuseppe PENONE
  • Michelangelo PISTOLETTO
  • Gilberto ZORIO
  •  


    [ARTE POVERA].

    ARTE POVERA.


    Paris, Editions du Regard, 1994.


    [ARTE POVERA].

    L'Arte Povera.


    Paris, Centre Pompidou, 1992.


    [ARTE POVERA].

    ARTE POVERA.


    Villeurbanne, Art Edition, 1989.


    [ARTE POVERA].

    Verso l'Arte Povera.


    Milano, Electa, 1989.


    [ARTE POVERA].

    Artstudio 13


    Paris, Artstudio, 1989.
     

    L'appelation arte Povera fut créée par le critique d'art Germano Celant à l'occasion de l'expositon " Arte Povera in spazio " à la galerie Bertesca à Gênes en 1967.
    Alighiero Boetti, Luciano Fabro, Jannis Kounellis, Giulio Paolino, Pino Pascali, Emilio Prini sont présents autour d'un projet commun : produire des ouvres immédiatement intelligibles grâce au "caractère empirique et non spéculatif du matériau" (G. Celant, Precronistoria, 1976, p.33).
    Aucune déclaration de principe, aucun manifeste à proprement parler ne président pourtant au lancement du mouvement. Les deux textes que l'on peut considérer comme fondateurs sont d'une part la préface de Celant à l'exposition de la Bertesca, d'autre part les "Notes pour une guerilla" ("Appunti per una guerriglia") qu'il fit paraître peu de temps après dans la revue Flash Art.
    Germano Celant s'explique sur son choix du qualificatif de "pauvre" en en justifiant l'emprunt tant au vocabulaire du théâtre de Grotowski ou d'Artaud qu'à la pensée psychanalytique de Jung ou aux philosophie orientale. "La pauvreté, écrit-il, dans ce contexte doit être comprise comme un dépouillement volontaire des acquis de la culture pour atteindre à la vérité originaire du corps et de ses perceptions".

    Arte Povera participe pleinement de l'utopie contestataire de la fin des années soixante et revendique à sa manière une tendance de l'art contemporain italien face à la suprématie du marché de l'art américain. Il s'agit d'exister face au USA qui viennent, avec le grand prix de Rauschenberg à la biennale de Venise de 1964, de concrétiser leur domination sur la scène européenne.

    Quoique constitué en groupe, les artistes de l'Arte povera forment un ensemble très disparate. S'ils partagent le même souci tant de rétablir un contact direct avec des matériaux naturels que de favoriser l'échange entre des polarités énergétiques contrastées, ils en appellent à une incroyable diversité de moyens et recourent chacun à des pratiques distinctes qui définissent leur style. Un même chorus en quelque sorte, mais jamais la même voix, ni le même timbre, ni le même accent.

    Extraits de textes de Philippe Piguet, de Didier Semin, C. Georges Pompidou, ...

     
    informations achats contact

    En utilisant ce site vous reconnaissez avoir lu, compris et accepté les Conditions générales de vente
    Copyright © 2020-2025 Frederic Dorbes - TOBEART Tous droits réservés.